Voulions un Torqeedo, avons reçu une torpille
Comment une entreprise industrielle allemande torpille vos projets
La mission
S’unir contre les mauvaises pratiques : Donner aux victimes de Torqeedo/Deutz les moyens d’obtenir justice et de prévenir d’autres griefs.
Appel à l’action
Vous avez été touché ? Rejoignez notre cause dès aujourd’hui et contribuez à éviter de nouvelles victimes. Partagez votre histoire.
Une histoire de réussite en point de mire
Prochainement
Vous pensiez avoir acheté un système fiable d’une entreprise allemande sérieuse ?
Comme beaucoup, vous avez fait confiance à l’héritage de l’ingénierie allemande, n’attendant rien d’autre que le meilleur. En investissant dans un système d’une entreprise réputée, on s’attend à ce qu’il soit fiable et sophistiqué. Pourtant, au fil du temps, une révélation surprenante est apparue. Ce qui était présenté comme un système poli, fini et industrialisé présentait des similitudes alarmantes avec un prototype non développé. Les incohérences, les pépins et les problèmes techniques incessants ont soulevé des questions troublantes. Comment une entreprise d’une telle envergure a-t-elle pu livrer un produit qui semblait en être à ses balbutiements ? Il est apparu clairement que ce qui avait été promis était loin d’être la réalité.
En mer, le danger n’est pas toujours là où on l’attend
En naviguant sur les vastes étendues maritimes, les marins sont habitués à anticiper les dangers tels que les pirates, les icebergs ou les sous-marins qui rôdent. Pourtant, la menace la plus insoupçonnée ne provenait pas du monde extérieur, mais d’un système auquel nous avions confié notre sécurité. Présenté comme un gage de fiabilité, ce système s’est rapidement révélé être une menace cachée. Ses dysfonctionnements imprévisibles représentaient des dangers potentiellement plus graves que n’importe quel iceberg ou pirate. Cela nous rappelle que parfois, les menaces les plus graves ne sont pas celles que nous craignons depuis toujours, mais celles en lesquelles nous avons placé notre confiance, croyant qu’elles nous mettraient à l’abri.